Les catastrophes naturelles se multiplient au Niger, mettant en péril la vie et les moyens de subsistance de milliers de personnes. Pour faire face à ces défis, AHDD a développé une approche globale de la résilience…
Dans le Sahel, la transition climatique et géographique dans le désert du Sahara crée des risques énormes et imprévisibles de sécheresse et de pénurie d’eau. Cela se traduit souvent par une insécurité alimentaire dans les pays voisins, y compris le Niger, qui est couvert à plus de 80% par le désert du Sahara. Des catastrophes naturelles plus fréquentes et plus intenses entravent le rétablissement des communautés vulnérables, car les nouvelles crises aggravent les effets persistants des plus anciennes.
Après les inondations inédites de 2022 qui ont touché plus d’1,3 million de personnes à travers le pays, les autorités ont décrété l’état d’urgence et annoncé des mesures visant à calmer la furie des eaux lors des prochaines averses.
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En réponse à cette situation, le Projet de Prévention Communautaire des Risques de Catastrophes, soutenu par la GFDRR et le Programme ACP-EU NDRR, a intégré les pratiques de gestion des risques de catastrophe dans les activités de développement, afin d’empêcher les sécheresses et autres catastrophes de compromettre le progrès social et la croissance économique. L’objectif du programme était de développer et de renforcer les capacités de résilience basées sur les communautés, en renforçant les organisations locales de la société civile.
L’ONG « Actions Humanitaires et Développement Durable » (AHDD) en sigle, participe toujours dans tous les cadres de concertations sur la gestion des inondations 2020, pour qu’ensemble on retrouve une vie paisible